Les journaux télévisés nous annoncent la disparition d’Amy Winehouse, à 27 ans, dans son domicile londonien, après une relation intime avec l’alcool et les drogues.
Découverte grâce à Tyler James, son petit copain à l’époque, elle démarre sa carrière lorsqu’elle n’a que 16 ans. Un premier album, Frank, en 2003, la propulse dans le firmament des stars internationales. En octobre 2006, c’est la sortie de son deuxième album Back to Black et ses fans ne se lasseront pas de chanter en chœur et en guise de provocation jubilatoire « They tried to make me go to rehab. I said no, no, no… » (Ils ont voulu m’amener faire une désintoxication et j’ai dit non, non, non…) [ici]
Amy Winehouse vient de disparaitre. Au bout de deux albums. Elle avait 27 ans. Le même âge que Jimi Hendrix. Kurt Cobain. Janis Joplin. Jim Morrison.
Un mythe vient de naitre…
Sa disparition avait été annoncée vendredi sur la scène des Francofolies de Spa. Cette même scène où, en 2003, en compagnie d’autres artistes belges il rendait hommage à Pierre Rapsat.
La carrière artistique de Paul Louka avait commencé par les arts plastiques avant qu’il décide de se dédier à l’écriture de ses premières chansons dans les années 50. Sa carrière sera fidèle à celle de toutes chanteurs engagés, affichant des couleurs politiques d’une gauche ouvrière et intellectuelle. Il aura enregistré une bonne quinzaine d’albums au cours de sa carrière et il préparait, à 74 ans, un nouvel album.
C’est Brel qui lui a ouvert les portes parisiennes et quelque trois années plus tard, il est devenu un proche de Georges Brassens.
Dans la nuit de vendredi à samedi, un poète s’en est allé rejoindre les étoiles. Avec pudeur. Sans bruit. Et pourtant le vide est là. Et ce n’est pas la faute aux poètes…
À propos de dubleudansmesnuages
Je laisserai vagabonder mon esprit nomade, sur le fil d'or de mes silences, pour vous parler des ces choses qui me maintiennent en équilibre.
Je vous parlerai aussi des musiques que j'aime. Elles se promènent du Fado d'Amália, de Dulce Pontes, de Cristina Branco, de Mariza, jusqu'aux voix frissonantes de Diana Krall, de Stacey Kent, de Chiara Civello, de Karrin Allyson, de Stina Nordenstam, de Robin McKelle, de Sophie Milman, d'Emilie-Claire Barlow, et d'encore plein d'autres …
Aznavour, Brel, Duteil, Art Mengo, Berliner, Cabrel, Balavoine, Julien Clerc, Fugain, Le Forestier, Goldman, Lama, Rapsat, Vassiliu, Daniel Seff, Peyrac et tous ceux que m’on fait aimer la chanson française.
Je me perdrai certains soirs dans le paradis de la musique brésilienne : Eliane Elias, Astrud Gilbert, Gal Costa, Elis Regina, Bia, Bebel Gilberto, Maria Creuza, Nara Leão, Jobim, Vinicius, Buarque, Toquinho, Djavan …
Il y aura des moments où je vous parlerai d'une des chansons de ceux que j'affectionne. Donovan, Leonard Cohen, The Doors, Tracy Chapman, The Scorpions, Dylan, Lennon ou McCartney (avec ou sans les Beatles), ou de voix d'or comme Sarah Brightman, Ana Torroja, ou Teresa Salgueiro.
Puis, parfois, je me promènerai sans but précis entre Piazzolla et Lluis Llach, de Mayte Martin à Gigliolla Cinquetti ou Paolo Conte, de Chavella Vargas à Souad Massi en passant par Gabriel Yacoub.
Parce que la musique n’a aucune frontière. La musique ne connait que des sensibilités. Des sonorités. Des larmes ou des sourires.
Je vous déposerai ici l'une ou l'autre de mes photos. Les moins ratées.
Je vous laisserai un peu de poésie. Des poètes portugais. Que j'aime. Infiniment. Et puis tous les autres dont les textes me touchent.
Je ne vous parlerai que des gens que j’aime. Et puis un peu de moi. Si peu.
Et puis, si j'ai le temps. Seulement si j'ai le temps, je vous parlerai d'autres choses. Plus intimes.
Merci Armando pour ce bel hommage!
Bel hommage !
Quel que soit l’âge du grand départ, c’est toujours trop tôt!