-
Archives
- décembre 2013
- novembre 2013
- octobre 2013
- septembre 2013
- août 2013
- juillet 2013
- juin 2013
- mai 2013
- avril 2013
- mars 2013
- février 2013
- janvier 2013
- décembre 2012
- novembre 2012
- octobre 2012
- septembre 2012
- août 2012
- juillet 2012
- juin 2012
- mai 2012
- avril 2012
- mars 2012
- février 2012
- janvier 2012
- décembre 2011
- novembre 2011
- octobre 2011
- septembre 2011
- août 2011
- juillet 2011
- juin 2011
- mai 2011
- avril 2011
- mars 2011
- février 2011
- janvier 2011
- décembre 2010
- novembre 2010
- octobre 2010
- septembre 2010
- août 2010
- juillet 2010
- juin 2010
- mai 2010
- avril 2010
- mars 2010
- février 2010
- janvier 2010
- décembre 2009
- novembre 2009
- octobre 2009
- septembre 2009
- août 2009
- juillet 2009
- juin 2009
- mai 2009
- avril 2009
- mars 2009
- février 2009
- janvier 2009
- décembre 2008
- novembre 2008
- octobre 2008
- septembre 2008
- août 2008
- juillet 2008
- juin 2008
- mai 2008
- avril 2008
- mars 2008
- février 2008
- janvier 2008
- décembre 2007
- novembre 2007
-
Méta
Regards épars au Père-Lachaise 29
À propos de dubleudansmesnuages
Je laisserai vagabonder mon esprit nomade, sur le fil d'or de mes silences, pour vous parler des ces choses qui me maintiennent en équilibre. Je vous parlerai aussi des musiques que j'aime. Elles se promènent du Fado d'Amália, de Dulce Pontes, de Cristina Branco, de Mariza, jusqu'aux voix frissonantes de Diana Krall, de Stacey Kent, de Chiara Civello, de Karrin Allyson, de Stina Nordenstam, de Robin McKelle, de Sophie Milman, d'Emilie-Claire Barlow, et d'encore plein d'autres … Aznavour, Brel, Duteil, Art Mengo, Berliner, Cabrel, Balavoine, Julien Clerc, Fugain, Le Forestier, Goldman, Lama, Rapsat, Vassiliu, Daniel Seff, Peyrac et tous ceux que m’on fait aimer la chanson française. Je me perdrai certains soirs dans le paradis de la musique brésilienne : Eliane Elias, Astrud Gilbert, Gal Costa, Elis Regina, Bia, Bebel Gilberto, Maria Creuza, Nara Leão, Jobim, Vinicius, Buarque, Toquinho, Djavan … Il y aura des moments où je vous parlerai d'une des chansons de ceux que j'affectionne. Donovan, Leonard Cohen, The Doors, Tracy Chapman, The Scorpions, Dylan, Lennon ou McCartney (avec ou sans les Beatles), ou de voix d'or comme Sarah Brightman, Ana Torroja, ou Teresa Salgueiro. Puis, parfois, je me promènerai sans but précis entre Piazzolla et Lluis Llach, de Mayte Martin à Gigliolla Cinquetti ou Paolo Conte, de Chavella Vargas à Souad Massi en passant par Gabriel Yacoub. Parce que la musique n’a aucune frontière. La musique ne connait que des sensibilités. Des sonorités. Des larmes ou des sourires. Je vous déposerai ici l'une ou l'autre de mes photos. Les moins ratées. Je vous laisserai un peu de poésie. Des poètes portugais. Que j'aime. Infiniment. Et puis tous les autres dont les textes me touchent. Je ne vous parlerai que des gens que j’aime. Et puis un peu de moi. Si peu. Et puis, si j'ai le temps. Seulement si j'ai le temps, je vous parlerai d'autres choses. Plus intimes.
Ce contenu a été publié dans ... DANS MA TÊTE. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.
6 réponses à Regards épars au Père-Lachaise 29
Les commentaires sont fermés.
Le dernier de novembre
Allez… le dernier de l’année, avant que change de lune le calendrier, que le ciel s’illumine d’étoiles, divines aux yeux des uns, lucratives pour les autres, mais qui feront briller ceux des enfants; une dernière fois poser des mots sur les tombes. D’autres y mettent bien des fleurs.
Que j’arpente le cimetière-ville, dont Armando nous offrit ses regards épars, ou le plus humble qui soit, au bout de mon jardin secret, ou bien encore les tombeaux muets de St Just; nul risque que je m’égare.
Ma pensée docile, suit ses chemins concrets et cesse de poursuivre ses rêves indiscrets. Devant une simple pierre, sans gravure ni fleur, je m’arrête.
Ne vous inquiétez pas de voir une larme couler. N’est il point normal lors d’un enterrement de pleurer? J’enterre un désir, quoi de pire direz-vous. Allons, il faut se ressaisir, si je le porte en terre, c’est pour qu’il puisse fleurir!
Pour qu’explose en nous la sève de mon rêve contenu, qu’elle nous mène sans trêve vers l’inconnu d’une flamme dévorante, d’une passion vibrante. Que sa force vivante se tende d’autres désirs, peut-être moins sages. J’irai cueillir à ses rameaux qui pointent vers le ciel, porterai sa fleur, comme médaille de défi, au premier bouton de mon corsage, et marcherai vers mon aimé.
Des deuils de novembre aux étoiles de décembre, nous baladera la lune, complice fraternelle, fredonnant la comptine des amours éternelles, devant les tombes nues des rêves retenus.
Claire, 30/11/2009
L’olivier n’incarne-t-il pas la force, la paix et la fidélité? Le défunt est à jamais gravé dans les coeurs..
Comme une façon de dire à celui ou celle qui n’est plus : tu nous as donné des racines!
Un bien beau cousin ! 😉 Ah, Armando : peut-être verrez-vous, ce soir, qu’un blog est, disons, de retour ! Pardon de le dire hors contexte ici ; mais je ne veux pas exagérer en commentant aussi la Belle toile …
Un olivier qui ne peut plus faire des folies de son cor
(aurait dit un certain Roland !)
C’est une très jolie peinture entre soleil et ombre où ton regard s’est posé, Armando!
Peut-être est-ce un olivier? J’aime cette sobriété.