À propos de dubleudansmesnuages
Je laisserai vagabonder mon esprit nomade, sur le fil d'or de mes silences, pour vous parler des ces choses qui me maintiennent en équilibre.
Je vous parlerai aussi des musiques que j'aime. Elles se promènent du Fado d'Amália, de Dulce Pontes, de Cristina Branco, de Mariza, jusqu'aux voix frissonantes de Diana Krall, de Stacey Kent, de Chiara Civello, de Karrin Allyson, de Stina Nordenstam, de Robin McKelle, de Sophie Milman, d'Emilie-Claire Barlow, et d'encore plein d'autres …
Aznavour, Brel, Duteil, Art Mengo, Berliner, Cabrel, Balavoine, Julien Clerc, Fugain, Le Forestier, Goldman, Lama, Rapsat, Vassiliu, Daniel Seff, Peyrac et tous ceux que m’on fait aimer la chanson française.
Je me perdrai certains soirs dans le paradis de la musique brésilienne : Eliane Elias, Astrud Gilbert, Gal Costa, Elis Regina, Bia, Bebel Gilberto, Maria Creuza, Nara Leão, Jobim, Vinicius, Buarque, Toquinho, Djavan …
Il y aura des moments où je vous parlerai d'une des chansons de ceux que j'affectionne. Donovan, Leonard Cohen, The Doors, Tracy Chapman, The Scorpions, Dylan, Lennon ou McCartney (avec ou sans les Beatles), ou de voix d'or comme Sarah Brightman, Ana Torroja, ou Teresa Salgueiro.
Puis, parfois, je me promènerai sans but précis entre Piazzolla et Lluis Llach, de Mayte Martin à Gigliolla Cinquetti ou Paolo Conte, de Chavella Vargas à Souad Massi en passant par Gabriel Yacoub.
Parce que la musique n’a aucune frontière. La musique ne connait que des sensibilités. Des sonorités. Des larmes ou des sourires.
Je vous déposerai ici l'une ou l'autre de mes photos. Les moins ratées.
Je vous laisserai un peu de poésie. Des poètes portugais. Que j'aime. Infiniment. Et puis tous les autres dont les textes me touchent.
Je ne vous parlerai que des gens que j’aime. Et puis un peu de moi. Si peu.
Et puis, si j'ai le temps. Seulement si j'ai le temps, je vous parlerai d'autres choses. Plus intimes.
Pourquoi tant d’inquiétude pour un si gentil et honnête courlis ? Ce n’était qu’un message de sa part – il voulait qu’on le remarque et disait : » Je me MONTRE « .
Heureusement que la fenêtre était fermée, dis donc!!
Les oiseaux, ce n’est pas fait pour voler… enfin, pas la bouche pleine!
Drôle de Pie voleuse … Comme quoi, elles ne seraient pas les seules !
Et à huit heures moins cinq, en plus ; y’a plus de respect 😉
Tu as raison, manquerait plus que les oiseaux se mettent à voler, maintenant !
Merci Marcel,
Justement la police m’avait demandé son nom … parce que je vais introduire une plainte pour tentative de vol … Tu penses bien que je ne vais pas laisser l’affaire comme ça.
Amitiés
Armando,
Ta « petite espèce d’oiseau verdâtre sans nom » n’est rien d’autre qu’un courlis.
(échassier, quatre doigts : trois vers l’avant, un vers l’arrière et le bec incurvé vers le bas)
Agnès a tout à fait raison !
Quant à ton bel « oiseau verdâtre », je le trouve splendide et heureusement qu’il est le gardien de ta montre…et s’il ne s’envole pas même si une fois la fenêtre risque d’être ouverte, c’est qu’il se sent bien chez toi !
Hier soir, j’étais avec les portugais, ils l’auraient mérité !
« Non, mais … J’ai un coeur moi. Si, si. A l’intérieur. Comme ma beauté »
Je n’en doute pas un instant, Armando ! Ta beauté intérieure se voit sur l’écran